
100% camelots: Tourisme et itinérance
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Le Vieux-Port de Montréal est un lieu de rassemblement pour les touristes: bons restos, boutiques, attractions touristiques, belles balades. Mais c’est aussi un endroit où l’itinérance a toujours été visible. Deux mondes doivent se côtoyer; l’Accueil Bonneau, sur la rue de la Commune et la Mission Old Brewery sont des lieux où les gens dans le besoin se rendent pour dormir ou partager un bon repas, mais il y a aussi des gens qui font des touristes leur gagne-pain. Comment ces deux mondes, si loin l’un de l’autre, vivent-ils avec cette différence? Quelles sont leurs opinions et pensées face à cette réalité qu’est l’itinérance? Comment vivent-ils au quotidien avec cette réalité dérangeante? Comment les itinérants vivent cette opulence? L’Itinéraire est allé à la rencontre de personnes en situation d’itinérance, de commerçants et de touristes pour parler de cohabitation. à
Composition de la Une: Carla Braga
Éditorial du comité éditorial 100% camelots
Le tourisme fait partie de notre économie et rayonne selon ce que la ville a à offrir de notre culture, de notre façon de vivre. Mais au cœur de la métropole bat l’itinérance ; une problématique sociale bien visible. Comment ces deux mondes se côtoient ? Cette question forment le sujet du 100 % camelots que vous tenez entre vos mains.
Lire l'articleLa cohabitation touristes-itinérants se porte bien !
Le Vieux-Port de Montréal est un lieu de rassemblement pour les touristes: bons restos, boutiques, attractions touristiques, belles balades. Mais c’est aussi un endroit où l’itinérance a toujours été visible.
Lire l'articleMon voyage en enfer
Résultat : une hernie discale à la colonne. Ce n’est pas opérable et je devrais apprendre à vivre avec, qu’on me disait. Les années ont passé. J’étais rendu au point où j’allais travailler avec ma canne. La douleur était si intense que j’ai dû abandonner la job.
Lire l'articleLes fables du parc La Fontaine
J’ai toujours adoré les fables de La Fontaine. Elles racontent des histoires anodines, pourvues d’une morale qui est encore d’actualité, même 357 ans après leur parution. Et que dire de la prose!
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