
Coupe du monde de soccer des sans-abri
À la une
Il faut être un peu fou pour croire qu’on peut rassembler 500 joueurs venus de 48 nations au même endroit le temps d’un tournoi de soccer. Il faut l’être encore plus pour imaginer y réunir des participants en situation d’itinérance, en lutte contre la dépendance ou au statut de réfugié. Et pourtant, ce tournoi existe. Depuis deux décennies, même. La vingtième Coupe du monde de soccer des sans-abri vient tout juste de se terminer à Oslo, en Norvège, et pour la première fois depuis 2015, le Canada y était. Pour la première fois tout court, des joueurs du Québec ont fait le voyage pour représenter l’unifolié.
Le sport élève
Laissez-moi vous partager un bout de mon histoire. J’ai enfilé mon kit de handball à 12 ans. Une passion immédiate. Une vocation, peut-être. Le terrain est vite devenu un lieu d’expression, moi qui étais une jeune fille introvertie. Grâce au sport, j’ai découvert que j’avais des talents. Et surtout, j’ai appris que j’avais le droit d’exister, de briller, de me dépasser.
Lire l'articleCoupe du monde soccer des sans-abri
Il faut être un peu fou pour croire qu’on peut rassembler 500 joueurs venus de 48 nations au même endroit le temps d’un tournoi de soccer. Il faut l’être encore plus pour imaginer y réunir des participants en situation d’itinérance, en lutte contre la dépendance ou au statut de réfugié. Et pourtant, ce tournoi existe. Depuis deux décennies, même. La vingtième Coupe du monde de soccer des sans-abri vient tout juste de se terminer à Oslo, en Norvège, et pour la première fois depuis 2015, le Canada y était. Pour la première fois tout court, des joueurs du Québec ont fait le voyage pour représenter l’unifolié.
Lire l'articleLe sexe et l'intelligence artificielle
Peut-on tomber en amour avec une machine ? Être en couple avec une poupée ? Oui, si l’on en croit Adam David et Lara Amelia, sa compagne artificielle. Ils en ont témoigné lors du 10e congrès international sur L’amour et le sexe avec les robots (LSR) qui se tenait du 15 au 17 août à l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
Lire l'articleL’enfant qui cirait des chaussures
L’histoire se passe en Algérie, en 1956. Il y avait un cireur de chaussures au port d’Alger qui devait avoir à peine 12 ans, il était très pauvre. Toute la journée, il voyait des bateaux aller et venir. Un jour, il a sauté à l’intérieur d’un cargo sans savoir où il allait. Lorsque l’équipage l’a trouvé, le jeune ne parlait pas anglais, il essayait de communiquer en faisant des signes. Ils ont commencé à jouer avec lui et à lui faire croire qu’ils allaient le jeter par-dessus bord en le balançant. Le commandant riait, l’enfant était paniqué.
Lire l'article