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Se loger dignement
Le « festival du déménagement » du 1er juillet bat son plein et force est de constater que les prix des loyers ne font qu’augmenter à Montréal.
Saviez-vous qu’en 2011, 10,9% des locataires consacraient plus de 80 % de leurs revenus pour payer leur loyer, soit en hausse par rapport à 8,8 % en 2006.
Autre constat : selon Radio-Canada, en juin dernier, quelque 700 immeubles appartenaient à la Société d’habitation du Québec (SHQ), dont la majorité était des HLM (habitations à loyer modique), la plupart étant en mauvais état.
Par ailleurs, une enquête sur la salubrité et l’abordabilité du logement à Montréal (SALAM) et le rapport de 2015 du directeur de santé publique de Montréal, démontrait que le quart des locataires qui dépensaient plus de 30 % de leur revenu sur leur loyer affirmaient avoir connu une pénurie alimentaire au cours de la dernière année.
Lorsque l’on considère la hausse des loyers, l’insécurité alimentaire et les maladies qui en découlent, est-il devenu un luxe d’avoir un logement propre et sécuritaire ? Le présent dossier propose une réflexion à ce sujet.
Bill
Cela fait déjà 10 ans que Bill est camelot à L’Itinéraire. Depuis sa toute première journée de travail, le 22 mars 2006, il dessert fidèlement sa clientèle du marché Atwater. Avant de rejoindre L’Itinéraire, Bill cherchait à changer sa vie et à gagner un peu d’argent.
Lire l'articleSquat sur Overdale et Préfontaine - 15 ans déjà !
Une des plus marquantes mobilisations de solidarité donna tout un élan au mouvement pour le droit au logement en 2001, c’est aussi à ce moment que le gouvernement du Québec commença à investir de façon plus conséquente dans le logement social.
Lire l'articleUn « chez soi » d’abord
Les logements sociaux souffrent de gentrification, c’est-à-dire un phénomène urbain par lequel des arrivants plus aisés s'approprient un espace initialement occupé par des habitants moins favorisés, transformant ainsi le profil économique et social du quartier au profit exclusif d'une couche sociale supérieure.
Lire l'articleBienvenue chez nous
Beaucoup de gens croient à tort que la plupart de nos camelots sont des itinérants. Certains le sont, mais la majorité d’entre eux ont un toit bien à eux. Cependant, la rue n’est jamais loin, car la situation financière de nos camelots demeure précaire.
Lire l'articleSe loger à Montréal à quel prix ?
Lire l'articleL’inspiration du questionnement
Notre camelot Jo Redwitch a rencontré l’artiste ElDiablo dans le cadre de son exposition Et Après, qui està la galerie Artgang jusqu’au 7 août et propose une réflexion globale autour de l’avenir à travers l’art urbain. C’est donc une vision tantôt utopiste et tantôt fataliste de l’art non-conventionnel.
Lire l'articleUn parcours miroir à Florence K
Dans cet article, notre camelot Isabelle Raymond échange avec l’auteure-compositrice et interprète Florence K qui a un parcours en santé mentale similaire à elle. Fin 2015, celle-ci a publié un livre-témoignage, Buena vida, où elle parle de la dépression majeure qu’elle a vécue de septembre 2011 à mars 2012.
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Lire l'articleLes Tent Cities aux États-Unis
Fin 2015, Reuters est allé à la rencontre de gens qui vivent dans des campements pour les sans-abri un peu partout aux États-Unis, notamment à Seattle, dans l’État de Washington State, à Las Cruces au Nouveau-Mexique et à Washington D.C.
Lire l'articleUn endroit bien à soi
Je rentre chez moi, j’ai hâte d’arriver à la maison, home sweet home… » Le logement, ce n’est pas juste un lieu physique, c’est un reflet de qui on est. Il peut être tant un refuge et havre de paix, que le point de ralliement familial, la centrale de partys ou simplement un pied à terre.
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