Montréal est une ville connue au national et à l’international pour ses feux d’artifice, quelques-uns de ses artistes et même ses nombreux festivals estivaux. Selon Statistique Canada, les investissements dans le domaine culturel contribueraient à une augmentation du produit intérieur brut (PIB) de 3 %.

En 2010, au Québec, ce PIB atteignait 10,9 milliards de dollars, ce qui représente une contribution de 3,5 % à l’économie de la province. Trois domaines se distinguaient : l’audiovisuel et les médias interactifs, les écrits et ouvrages publiés et les arts visuels et appliqués qui, à eux trois, étaient à l’origine de plus de 70 % du PIB culturel de la province.

Mais, au-delà de ces chiffres, il y a tout l’aspect de la représentation de la population montréalaise et québécoise qui est en jeu. Quelle place accorde-t-on à « la diversité » qu’elle soit linguistique, culturelle ou ethnique dans nos programmes culturels ?

Décryptage : Solitudes artistiques sur la scène québécoise

Qu’il s’agisse d’une publicité du 375e anniversaire de Montréal ou de la position de Louis Morissette sur le « black face », les scandales liés à la mise en valeur de la diversité artistique sur la scène québécoise sont nombreux.

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