«J’ai passé par tous les états en lisant ce livre : incompréhension, colère, tristesse, grande tristesse, réflexion, compassion, amusement, surprise, rire… (eh oui, rire !) et le très grand bonheur d’avoir lu un très bon livre. La qualité première de ce livre est de m’avoir bousculé. Je vous souhaite des livres qui vous bousculent. Un livre qui bouscule est un livre fort! », réagit notre camelot Siou qui nous fait part de ses états d’âme sur la prose de David Goudreault. Celui-ci a le don de composer des phrases incroyables, très punchées (on sent le slammeur pas loin), assaisonnées d’un humour qui rehausse délicatement le tout.

Pour consulter l’article intégral, procurez-vous l’édition du 15 juin 2016 auprès de votre camelot préféré(e).

Pour en savoir plus :

David Goudreault | Romancier, poète, dramaturge et slameur

David Goudreault : la vie n’est pas un long fleuve tranquille

David Goudreault lauréat du Grand Prix littéraire Archambault 2016

David Goudreault lance la bête et sa cage | ICI.Radio-Canada

Par Siou
Camelot Mont-Royal / Bordeaux

David Goudreault. © Jean-François Dupuis

C’est la première fois que notre coloré camelot Siou, n’ayant pas la langue dans sa poche, participe à un lancement de livre : La bête et sa cage de David Goudreault. Une phrase à l’endos l’intrigue : « La prison brise les hommes, mais la cage excite les bêtes ».

Carricature de Siou. © L`Itinéraire

Petite anecdote : notre camelot-rédacteur-bédéiste souffre du déficit de l’attention (TDA) combiné à de l’anxiété généralisée, ce qui peut paraître une montagne pour quiconque s’aventurant dans la lecture d’une brique de 248 pages. « Quand t’es rien, devenir un moins que rien, ça donne de la valeur. C’est difficile d’être un inconnu dans un monde érigé sur la reconnaissance», peut-on lire dans le second roman de David Gaudreault, le deuxième d’une trilogie entamée par La bête et sa mère, qui a connu un vif succès.