« L’expérience, ça ne s’achète pas »

Notre camelot Jo-An Blanchet-Girard a rencontré Philippe Brach, qui est cette année le porte-parole de L’Étoile montante Ford. Il s’agit d’un concours organisé dans le cadre des Francofolies, pour lequel il avait remporté le prix du public en 2012.

«Je me suis inscrit à ce concours en me disant que je ne cadrais peut-être pas dans ce genre de chose. Il y avait un volet auteur-compositeur-interprète, mais c’était la grosse affaire de Ford et ça avait plus l’air d’une pub que Ford n’avait pas le choix de placer pour sauver de l’impôt. À ma grande surprise, je me suis rendu en finale. Je ne l’ai pas gagnée, mais j’ai gagné le prix du public», explique Philippe Brach dont la carrière a vraiment pris son ampleur et décollé peu après ce moment marquant.

«J’ai surtout ressenti une grosse différence quand j’ai gagné la révélation de l’ADISQ en 2015, c’est après ça qu’on s’est mis à vendre beaucoup d’albums et de billets de spectacle. On avait déjà du monde qui nous suivait, mais là les salles ont commencé à se remplir et c’étaient des gens qui connaissaient les chansons. C’était quelque chose de nouveau parce qu’avant, j’arrivais dans des salles où personne ne me connaissait», s’étonne-t-il.

Pour Philippe Brach, c’est important d’appuyer la relève surtout qu’il considère encore en faire partie. «Quand tu commences, c’est là que tu as le plus besoin de ressources. Tu n’as pas d’expérience et c’est ça que tu recherches, parce que l’expérience, ça ne s’achète pas», relate-t-il.

Pour consulter l’article intégral, procurez-vous l’édition du 15 juin 2016 auprès de votre camelot préféré(e).

Pour en savoir plus :

Site officiel de Philippe Brach

PAR Jo-An Blanchet-Girard,
camelot métro Jolicœur