Les semaines de travail sont dures au salaire minimum, surtout lorsqu’après avoir passé 35 heures au boulot, il faut se rendre dans une banque alimentaire pour se nourrir.
Les travailleurs pauvres qui peinent à subvenir à leurs besoins de base même en travaillant à temps plein toute l’année sont nombreux au Québec et se trouvent depuis plusieurs mois au cœur d’un chaud débat sur la hausse du salaire minimum à 15 $. Nous vous présentons trois personnes clefs qui se sont prononcées publiquement sur la question.
Découvrez ce qu’avaient à dire ces trois personnes sur la polémique du salaire minimum dans notre édition du 15 janvier 2017, disponible auprès de votre camelot préféré(e).
15 $/h: la solution aux inégalités sociales?
Les partisans d’une hausse du salaire minimum à 15 $ l’heure affirment qu’il s’agit du montant horaire nécessaire pour enrayer le phénomène des travailleurs pauvres, ces salariés travaillant à temps plein, à longueur d’année, et qui peinent à subvenir à leurs besoins de base.
Ce montant précis serait le salaire viable, ou living wage, qui correspond au revenu dont un salarié à temps plein a besoin pour se hisser au-dessus du seuil de la pauvreté et avoir une petite marge de manœuvre.
Lisez ce qu’ont à dire des travailleurs au salaire minimum dans cet article de notre édition du 15 janvier 2017, disponible auprès de votre camelot préféré(e).